• Biologie Digitwise

    Jean-Dadet Baptiste
    DIASOLUKA
    Luyalu Nzoyifuanga


    Contact
    Docteur en
    Médecine, Chirurgie & accouchements
    CNOM : 0866 (Rép. Dém. Congo)
    Spécialiste en Ophtalmologie
    Humanités (~Baccalauréat) :
    Scientifique, Option Math-Physique
    Informaticien Amateur
    WebMaster de tous les Sites DIAS

    CROISSANCE « BIOLOGIQUE »
    DES
    CARRÉS DES NOMBRES ISODIGITES


    PROLOG

    Ce raisonnement, qui est peut-être le plus grand secret de la création, avait été élaboré aux environs de juin-juillet 1998 pendant mes oisivetés ennuyantes lors de mon séjour privé dans le Baïro angolais Domingos Vaz, pendant que d'autres personnes se ruaient à la conquête du diamant

    (un véritable MAQUIS dans une zone en guerre de l’Unita contre le gouvernement central de Loanda... ?
    Rassurez-vous, les balles ne crépitaient pas mais la menace et le risque d'attaque, de confrontation armée ou de bombardement aérien ou par char étaient permanents, ce que d'ailleurs nous avons vécu à la fin, où des bruits de bombardement se faisaient entendre à plus de 300 km faisant trembler le sol jusque là, et des obus d'une portée (=alcancia) de plus de 150 km =et capables de coiffer tout arbre qu'ils croisent sur leur trajectoire jusqu'à atteindre la cible= pouvaient être utilisés à tout moment)

    Était-ce vraiment du temps perdu ? Eh bien, NON (eN.Oh.eN). Contrairement aux autres qui ont récolté des trésors temporels et passagers, moi j'en ai récolté d'incommensurablement immesurable et inquantifiable, UNE DÉCOBERTE inouïe, à laquelle je n’aurais jamais pensé en d’autres circonstances.

    Je présente un Nouveau modèle mathématique de la vie et reproduction des êtres vivants via les divisions cellulaires (méiotique et mitotique) : Il révèle que Les chiffres semblent présenter une [forme de] vie et surtout se reproduire. Ils pourraient dès lors servir de matériel d'expérimentation médicale épargnant ainsi les animaux vivants (aubaine pour les anti-vivisection).

    Le site digitalbiology.com dont j'ignore l'auteur parle de la biologique digitale. D'autres sites sur le sujet sont : cs.ucl.ac.uk/staff/t.quick/alife.html, arieldolan.com, cs.ucl.ac.uk/staff/t.quick/alife.htmlscs.carleton.ca/~csgs/resources/gaal.html, lalena.com/ai, geocities.com/goldenziby/alife.html, alcyone.com/max/links/alife.html, lachlan.bluehaze.com.au/alife.html, t0.or.at/msguide/ai/alife.htm, red3d.com/cwr/boids, rennard.org/alife, homepages.feis.herts.ac.uk/~comqkd/Alife.htm, search-info.com/Computers/Artificial_Life, AltaVista, AOL, Clusty, Gigablast, Google, Lycos, MSN, Teoma, WiseNut, Yahoo, Google Directory, Zapmeta, Wow...

    Le site vieartificielle.com/article/index.php?action=article&id=96 d'Alain Pétrowski comment actuellement on applique la Génétique dans la manipulation des chiffres par exemple dans les ALGORITHMES ÉVOLUTIONNAIRES (ou AVs = Evolutionary Algorithms ou genetic and evolutionary computation) qui sont essentiellement destinés aux tâches d'optimisation, et qui comprennent principalement les trois classes ci-dessous :

    * Les Algorithmes Génétiques (ou GAs = Genetic Algorithms, développés par J. H. Holland),

    * La Programmation Évolutionnaire (ou EP =Evolutionnary programming, dévelopée par L.J. Fogel),

    *  Les Stratégies d'Évolution (ou ESs =Evolution Strategies, développés par H.P. Shwefel),

    * Solving Integer Programming Problems Using Genetic Algorithms (par Fabrício Olivetti de França),

    * Genetic Algorithms, Fuzzy Logic, Neural Networks,

    *genetic programming (GP), *learning classifier systems (LCS), *evolvable hardware (EH), *real-world applications (RWA), *evolutionary robotics, *artificial life, *adaptive behavior (ER-AL-AB), *ant colony optimization and swarm algorithms (ACO-SW), *biological applications (BIO), *Coevolution (COEV), *Artificial Immune System(AIS) and *other areas

    dans lesquels (algorithmes évolutionnaires) on assimile les gènes aux chiffres binaires 0 et 1.

    Par ailleurs, les chiffres sont aussi appliqués dans la Biologie. D'ailleurs les simulations sur ordinateur comme dans le cas du MALADE VIRTUEL ne représentent-elles pas une modélisation de la vie entièrement numérisée (basées sur les digits [binaires = bits]), cette séquence de 0 et de 1 ? Les initiés s'y retrouvent sûrement tant soit peu. Après tout, les chromosomes et les gènes, responsables des phénomènes de la prolifération et de l'APOPTOSE, sont comptables (peuvent être dénombrés) donc entièrement basés sur des chiffres, non!

    Peut-être que cette nouvelle méthode de manipulation de chiffres nous livrera le secret fondamental de la vie, du vieillissement et surtout de la mort et donc de... l'éternité. Ou peut-être permettra-t-elle la fabrication de robots (automates) vraiment pensants.

    Et s'il aidait un jour à ressusciter les morts ? L'Internet étant un lieu de partage [à l'origine gratuit] d'informations et de ressources, il m'a plu de le mettre à la disposition du monde entier pour le rendre du "Public Domain", et donc le vôtre aussi. J'ose croire qu'il vous sera d'une quelconque importance et qu'il sera adopté à l'échelle internationale.

    Je pense que ce nouveau concept pourrait donner quelques lueurs sur les fondements de notre vie [telle que nous la concevons] ou d'autres formes de vies que nous ne soupçonnons même pas, ou du moins une idée plus claire sur la cure de certaines maladies considérées jusque là d'incurables, ou du moins une meilleure compréhension du phénomène de la sénescence.

    En effet, avec la Mathématique, on peut tout démontrer, tout chiffrer, tout modéliser (représenter sous forme de modèle mathématique), tout simuler, etc, probablement même [le phénomène de] la vie comme telle.

    Mais s'il faut comparer les chiffres à des chromosomes ou des gènes [qui sont bel et bien numérotables et/ou chiffrables], où seraient ou par quoi seraient représentés les DNA, les codons, le centromère, les télomères, les nucléotides, les séquences amorces (origines) de la réplication, etc.

    Peut-être que lors des divisions chromosomiques, ce ne sont en fait que des chiffres qui se dupliquent et entraînent dans leurs déplacements (comme avec l'aimant) les gènes, ou alors le déplacement des gènes ne seraient qu'un reflet ou une projection à l'échelle matérielle, ou une induction, ou une transcription, ou une concrétisation ou manifestation des migrations insoupçonnées des chiffres lors de leurs propres divisions/multiplications/proliférations, les gènes ne faisant que suivre les déplacements des chiffres.

    Cette nouvelle notion, révolutionnaire, ne permettra sûrement pas à l’homme de recréer la vie de novo [à partir du néant], mais du moins elle permettra peut~être de mieux représenter et/ou reproduire des modèles mathématiques des phénomènes vitaux sur l’ordinateur, et aussi (et surtout) donner beaucoup plus d’intelligence artificielle à l’ordinateur.

    De plus, on peut approfondir cette observation pour développer des algorithmes de calcul en temps record pour les très grands nombres.

    Savez~vous que les animaux (en latin anima=âme ou souffle, animus=principe pensant) aussi ont une compétence minimale en matière des nombres. Ils possèdent dans la zone pariétale des neurones qui réagissent à telle ou telle quantité d'objets, alors que certains hommes souffrent d’accalculie. Les chiffres pourraient représenter un principe vital (souffle, du grec anémos=vent).

    Pour votre gouverne et un peu hors sujet, les Oummites auraient déclaré l'existence de 86 paires d'atome de krypton en "extrémité" des chaînes d'ADN chez tous les êtres vivants.



    LA CROISSANCE BIOLOGIQUE DES NOMBRES ILLUSTRÉE PAR LES LOIS DES CARRÉS DE NOMBRES ISO-DIGITES

    Des observations simples pour ne pas dire simplistes ou simplissimes ouvrent parfois la voie à des révélations et/ou connaissances fort instructives qui ouvrent à leur tour de nouveaux horizons pouvant bouleverser tout l'avenir de l'humanité.

    L'élévation au carré des nombres [ainsi que toute opération arithmétique sur eux], en particulier les nombres isodigites (constitués avec un[e] seul[e figure de] digit dans l'entièreté du nombre), apparaît comme un processus de reproduction, fusion et intégration de chiffres qui suit tout un cheminement logique et précis, et selon un mécanisme tout aussi précis, que jusqu'ici personne n'a jamais imaginé.

    Voici comment les choses se passent, avec les nombres isodigites à digit '7' ci-après :

    NOMBRES ISODIGITES À DIGIT 7 (D=7)

    Examinons le tableau suivant :

    m = qtté de digits ds nb

    Nombre isodigite N, à élever au carré

    Carré du Nombre N

    1

    7^2

    4 9

    2

    77^2

    59 29

    3

    777^2

    603 729

    4

    7777^2

    6048 1729

    5

    7'7777^2

    60492 61729

    6

    77'7777^2

    604937 061729

    7

    777'7777^2

    6049381 5061729

    8

    7777'7777^2

    60493825 95061729

    9

    7'7777'7777^2

    604938270 395061729

    10

    77'7777'7777^2

    6049382714 8395061729

    11

    777'7777'7777^2

    60493827159 28395061729

    12

    7777'7777'7777^2

    604938271603 728395061729

    13

    7'777'777'777'777^2

    6049382716048 1728395061729

    14

    77'777'777'777'777^2

    60493827160492 61728395061729

    15

    777'777'777'777'777^2

    604938271604937 061728395061729

    16

    7'777'777'777'777'777^2

    6049382716049381 5061728395061729

    17

    77'777'777'777'777'777^2

      6,0493827160493825 95061728395061729e+33

    ...

     

     

    n

    nombre de digits supérieur à 17

    Trouvez vous-même le carré d'un nombre isodigite à digit 7, comportant un nombre n de digits supérieur à 17


    Première méthode :

    Règle générale :

    Prenant un nombre isodigite à m chiffres, on partira du carré du nombre isodigite précédent (à m-1 chiffres), carré qui comporte m*2 chiffres, les m premiers chiffres du carré du nombre précédent constituant le préfixe, et les m chiffres suivant constituant le suffixe.

    Pour une quantité m de digits dans le nombre isodigite à digit 7, le premier chiffre ( C ) du suffixe ( SUF ) du carré du nombre isodigite précédent (comportant m-1 digits) se duplique pour donner le nouveau suffixe (CSUF).

    L'un des deux doublons (C) =disons celui de gauche= dans le nouveau suffixe CSUF se détache pour se fixer en suffixe au préfixe (PREF) de m-1 pour donner le nouveau préfixe (PREFC).

     À ce niveau nous avons un total de m * 2 - 1 chiffres,

    - m chiffres en préfixe

    - m-1 chiffres en suffixe (en fait c'est le suffixe du carré du nombre précédent à m-1 chiffres)

    Le deuxième doublon 'C' qui est resté en préfixe au suffixe se dédouble de nouveau et l'un des doublons s'insère lui aussi en suffixe au préfixe en cours 'PREFC' pour donner le nouveau préfixe 'PREFCC'.

     À ce niveau nous avons un total de m * 2 chiffres,

    - m chiffres en préfixe

    - m chiffres en suffixe

    Il s'ajoute à ce nouveau préfixe (en respectant éventuellement le report) un des nombres (N) parmi les suivants : 100, 110, et 111 des Table-I / Table-II pour donner le nouveau préfixe 'PREFCC + N'. Le dernier chiffre ('C') de ce dernier préfixe (PREFCC + N) se détache alors pour se lier en préfixe au suffixe en cours 'CSUF' (en fait le suffixe du carré du nombre précédent à m digits) pour donner un nouveau suffixe CSUFFIXE. À ce niveau nous avons toujours un total de m * 2 chiffres,

    - m chiffres en préfixe

    - m chiffres en suffixe

    Il s'ajoute finalement (en rejetant le report éventuel), la valeur '4' (sauf pour m=2 où on ajoute 3) au premier digit du suffixe en cours pour donner le suffixe ultime ou final, et le tour est joué.

    Le nombre reconstitué « préfixe:suffixe » N^2 est le résultat de 777...^2 (D=7, pour un nombre isodigite de taille mm digits], à élever au carré).

    Pour m=1 (nombre à un seul digit, '7'), on ne peut pas tirer une loi précise universelle. Pour le tout début donc (m=1, N=7, D=7), on peut juste se contenter du résultat de 7^2 = 49, comme étant constitué de deux parties, un Préfixe représenté par '4', et un Suffixe représenté par '9'.

    Pour les autres valeurs de m (>1), on part toujours du résultat de la valeur m (nombre de digits dans le nombre) précédente (m-1). Jusque là (pour m=1) aussi bien le préfixe (4) que le suffixe (9) n'ont chacun qu'un seul chiffre, comme dans le nombre élevé au carré.

    Le principe général est le suivant :

    • Le digit de l'extrême gauche (le premier chiffre) du suffixe se duplique et s'accole en suffixe au préfixe en cours. Par exemple pour m=2, partant du résultat pour m=1 (49, 4=préfixe et 9=suffixe), le premier (celui de l'extrême gauche) et unique chiffre du suffixe (ici '9') qui ne comporte jusque là qu'un seul chiffre, va se lier en suffixe au préfixe en cours ('4') pour donner le nouveau préfixe '49'.
    • Le processus se répète, le digit de l'extrême gauche du suffixe se duplique de nouveau et s'accole aussi en suffixe au préfixe en cours (on peut aussi comprendre que le nouveau suffixe du préfixe se dédouble). Pour m=2 on aura à ce niveau comme préfixe 499. Le suffixe est toujours 9.
    • Ensuite, selon la valeur de m (=nombre de digits dans le nombre), il s'ajoute au préfixe une des valeurs suivantes, en respectant le report :

    Table I. Valeurs d'ajout (A) en fonction du nombre (m) de digits dans le nombre isodigite à digit 7

    m

    ajout

    m

    ajout

    m

    ajout

    2

    100

    3

    111

    4

    110

    5

    111

    6

    110

    7

    111

    8

    100

    9

    110

    10

    111

    11

    110

    12

    111

    13

    110

    14

    111

    15

    110

    16

    111

    17

    100

     

     

     

     

    Les 3 valeurs d'ajout sont tous des nombres décimaux mais d'apparence binaire (100b=4d, 110b=6d, 111b=7d ou 100b ; ou 000 + 100, 000+100 + 010, 000+100+010 + 001). Les valeurs d'ajout se répartissent comme suit selon la valeur de m.

    Table II. Valeurs d'ajout (A) en fonction du nombre (m) de digits dans le nombre isodigite à digit 7

    Valeurs d'ajout (A)

    valeurs de m

    100

    2, 8 et 17

    101

    (8)

    110

    4, 6, 9, 11, 13 et 15

    111

    3, 5, (6), 7, 10, 12, 14 et 16

    Bien qu'on puisse de temps à autre trouver une certaine corrélation dans les progressions :

    Pour A=100 comme valeur d'ajout, les trois valeurs de m sont espacées de 6 et de 17, les deux extrêmes l'étant de 15="valeur du plus grand digit en base hexa".

    Pour A=101, seul m=8 (base octale) si on doit ajouter 3 au lieu de 4 au premier chiffre du suffixe (voir plus loin) ; si vous considérez la valeur d'ajout 101 en binaire, en ajoutant 2d=10b, on obtient MAXINT DIGIT octal ; en binaire 101b=5d.

    Pour A=110, les espacements sont respectivement de 5, 2, 2 et 2.

    Pour A=111 : hormis le 6 (si on additionne 3 au lieu de 4 au premier digit du suffixe) les espacements font un doublement dans un cycle de 3 (10/5, 12/6, 14/7), ou un décalage de 1 entre 5 et 7 et de 2 entre 10 et 16,... La valeur d'ajout s'alterne entre 110 et 111 entre m=9 et m=16. Si on considère le 6, alors il y a un doublement de 5 à 7 (10/5, 12/6, 14/7). Pour le 16, il aurait fallu que 8 soit dans cette série, mais cela entraînerait une perturbation à tous les niveaux, mais peut-être ouvrirait d'autres voies. Comme vous le voyez, 8 n'a pas de place A fixe (100, 101 où il est seul et 111, sauf le 110), il est perturbateur, et les chiffrologues (plutôt numérologues) le qualifient de chiffre impur, mais c'est celui sur lequel toutes les représentations dans l'ordinateur sont basées (octet).

    Difficile de tirer une loi de progression, chaque [groupe de ] valeur[s] de m a/ont sa/leur valeur d'ajout spécifique (c'est naturel non). Il est certain qu'il y a des lois bien établies qui régissent ces tables, un crac mathématicien, callé en trouverait sûrement très facilement une. Savez-vous que tout [dans] l’univers [y compris la vie] est régi par la mathématique ? Quand dans les conditions bien précises 2H se combinent ave 1O ou 2O pour toujours donner H2O ou H2O2, n'est-ce pas de la [précision] mathématique ?

    • Pour m=2 il s'ajoute donc 100 à la valeur en cours du préfixe 499 pour donner 599.
    • Le dernier digit du préfixe se détache de ce dernier pour se fixer en préfixe au suffixe en cours. Pour m=2, le dernier 9 se détache du préfixe 599 pour s'accoler en préfixe au suffixe en cours (9) pour donner 59 en préfixe et 99 en suffixe.
    • Il s'ajoute ensuite au premier digit (celui de l'extrême gauche ou le plus significatif), selon la valeur de m et en rejetant le report éventuel, la valeur 3 (4 pour les valeurs de m <> 2). Le nouveau et ultime suffixe devient donc 29.

                77^2 = Préfixe:Suffixe = 59'29.

    Le tour est donc joué.

    Remarque : À la fin, aussi bien la partie gauche (préfixe) du résultat final que la partie droite (le suffixe), ont une longueur (taille ou nombre de chiffres) égale à la valeur de m équivalente au nombre de digits dans le nombre de base N dont on calcule le carré.

     

    On démarre donc Concrètement,

    1. Pour m=1 (nombre isodigite à un seul chiffre/digit)

     Pour m = 1, 7^2 = 49 :

    4 = préfixe (aussi dernier chiffre du préfixe)

    9 = suffixe (aussi premier chiffre du suffixe)

     

    Nous entrons donc en vitesse de croisière.

    1. Pour m=2 (nombre isodigite à deux chiffres/digits)

    Pour m=1, 7^2=49. Le premier chiffre (et l'unique) '9' du suffixe '9' se dédouble et le doublon de gauche (pas celui de droite ?) s'attache en suffixe au préfixe en cours (celui de m=m-1, ici = 1), '4' pour former le nouveau préfixe '49'.

    L'autre doublon (9) resté attaché en préfixe à l'ancien suffixe 9 (celui de m=1) se dédouble de nouveau et l'un des nouveaux doublons s'attache en suffixe au préfixe en cours (49). Le suffixe en cours est toujours 9.

    On ajoute 100 au préfixe en cours (499) pour donner 599. Le dernier (le plus à droite=le moins significatif) digit (9) du préfixe en cours (499) s'en retire et migre à l'avant du suffixe en cours (9) pour donner 49 en préfixe et 99 en suffixe.

    On ajoute 3 au premier chiffre du suffixe en cours (99), en rejetant le report, cela donne 29 comme nouveau suffixe.

    Et le tour est joué. Nous avons donc 59 comme préfixe, et 29 comme suffixe.

    77^2 = 5929.

     

    1. Pour m=3 (nombre isodigite à trois chiffres/digits)

    Pour m=2, 77^2=5929. Le premier chiffre ('2') du suffixe '29' de m=2 se dédouble en 2 descendants pour donner le nouveau suffixe '229'.

    L'un des jumeaux ('2') se détache de ce dernier pour se lier en suffixe au préfixe '59' de m=2 pour donner le nouveau préfixe '592'. À ce niveau, nous avons un total de 5 chiffres,

    - 3 en suffixe ('592'),

    - 2 en préfixe ('29'), en fait le suffixe dans m-1=2.

    Le deuxième jumeau ('2') qui est toujours en préfixe eu suffixe en cours, se dédouble à son tour et l'un de ses néodoublons lui aussi s'insère en suffixe au préfixe en cours ('592') pour donner '5922'.

    Il s'ajoute alors (en respectant le report) '111' au préfixe en cours 5922, ce qui donne '6033' comme nouveau préfixe.

    Le dernier digit de ce nouveau préfixe ('3') se détache alors de ce dernier pour se fixer en préfixe au suffixe '29' pour donner le nouveau suffixe '329'. À ce niveau, nous avons un nombre à 6 chiffres :

    - 3 en préfixe ('603'),

    - 3 en suffixe ('329').

    Par la suite il s'ajoute 4 au premier digit du suffixe en cours, pour donner 729, et le tour est joué.

    Nous avons le résultat de 777^2 = '603'729' (D=7, m=3).

     

    1. Pour m=4 (nombre isodigite à quatre chiffres/digits)

    Pour m=3, 777^2=603'729. Le premier chiffre ('7') du suffixe '729' de m=3 se duplique pour donner le nouveau suffixe '7729'.

    L'un des deux doublons '7' dans le nouveau suffixe se détache pour se fixer en suffixe au préfixe '603' de m=3 pour donner le nouveau préfixe '6037'. À ce niveau nous avons un total de 7 chiffres,

    - 4 chiffres en préfixe ('6037')

    - 3 chiffres en suffixe ('729').

    Le deuxième doublon '7' qui est resté en préfixe au suffixe se dédouble et l'un des doublons s'insère lui aussi en suffixe au préfixe en cours '6037' pour donner le nouveau préfixe '60377'.

    Il s'ajoute '110' à ce nouveau préfixe pour donner le nouveau préfixe '60487'. Le dernier chiffre ('7') de ce dernier préfixe ('60487') se détache alors pour se lier en préfixe au suffixe en cours '729' pour donner le nouveau suffixe '7729'. À ce niveau nous avons un total de 8 chiffres,

    - 4 chiffres en préfixe ('6048')

    - 4 chiffres en suffixe ('7729').

    Il s'ajoute (en rejetant le report - voir plus haut) ensuite 4 au premier digit (7) du suffixe en cours pour donner 1729, et le tour est joué.

    Le nombre reconstitué «préfixe:suffixe» 6048'1729 est le résultat de 7777^2 (D=7, m=4).

     

    1. Pour m=5 (nombre isodigite à cinq chiffres/digits)

    Pour m=4, 7'777^2=6048'1729. Le premier chiffre ('1') du suffixe '1729' de m=4 se duplique pour donner le nouveau suffixe '11729'.

    L'un des deux doublons '1' dans le nouveau suffixe se détache pour se fixer en suffixe au préfixe '6048' de m=4 pour donner le nouveau préfixe '60481'. À ce niveau nous avons un total de 9 chiffres,

    - 5 chiffres en préfixe ('60481')

    - 4 chiffres en suffixe ('1729').

    Le deuxième doublon '1' qui est resté en préfixe au suffixe se dédouble et l'un de ses nouveaux doublons s'insère lui aussi en suffixe au préfixe en cours '60481' pour donner le nouveau préfixe '604811'.

    Il s'ajoute '111' à ce nouveau préfixe pour donner le nouveau préfixe '604922'. Le dernier chiffre ('2') de ce dernier préfixe ('604922') se détache alors pour se lier en préfixe au suffixe en cours '1729' pour donner le nouveau suffixe '21729'. À ce niveau nous avons un total de 10 chiffres,

    - 5 chiffres en préfixe ('60492')

    - 5 chiffres en suffixe ('21729').

    Il s'ajoute ensuite 4 au premier digit du suffixe en cours 21729 pour donner 61729, et le tour est joué.

    Le nombre reconstitué «préfixe:suffixe» 60492'61729 est le résu


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    Ce sont des textes que je n'entretiens plus,
    faute de temps.

    PROLOG

     

    Ce raisonnement, qui est peut-être le plus grand secret de la création, avait été élaboré aux environs de juin-juillet 1998 pendant mes oisivetés ennuyantes lors de mon séjour privé dans le Baïro angolais Domingos Vaz, pendant que d'autres personnes se ruaient à la conquête du diamant

    (un véritable MAQUIS dans une zone en guerre... ?)

     Était-ce vraiment du temps perdu ? Eh bien, NON (eN.Oh.eN). Contrairement aux autres qui ont récolté des trésors temporels et passagers, moi j'en ai récolté d'incommensurablement immesurable et inquantifiable, UNE DÉCOBERTE inouïe, à laquelle nulle personne au homme n'aurait pensé.

    Je présente un Nouveau modèle mathématique de la vie et reproduction des êtres vivants via les divisions cellulaires (méiotique et mitotique) : Il révèle que Les chiffres semblent présenter une vie et surtout se reproduire. Ils pourraient ainsi servir de matériel d'expérimentation médicale épargnant ainsi les animaux vivants (aubaine pour les anti-vivisection).

    Le site digitalbiology.com dont j'ignore l'auteur parle de la biologique digitale. D'autres sites sur le sujet sont : cs.ucl.ac, arieldolan.comscs.carleton, lalena.com/ai, goldenziby, alcyone.com, lachlan.bluehaze, t0.or.at, boids, rennard.org, feis.herts, Artificial_Life, AltaVista, AOL, Clusty, Gigablast, Google, Lycos, MSN, Teoma, WiseNut, Yahoo, Google Directory, Zapmeta, Wow...

    Le site vieartificielle.id=96 d'Alain Pétrowski comment actuellement on applique la Génétique dans la manipulation des chiffres par exemple dans les ALGORITHMES ÉVOLUTIONNAIRES (ou AVs = Evolutionary Algorithms ou genetic and evolutionary computation) qui sont essentiellement destinés aux tâches d'optimisation, et qui comprennent principalement les trois classes ci-dessous :

    * Les Algorithmes Génétiques (ou GAs = Genetic Algorithms, développés par J. H. Holland),

    * La Programmation Évolutionnaire (ou EP = Evolutionnary programming, dévelopée par L.J. Fogel),

    *  Les Stratégies d'Évolution (ou ESs =Evolution Strategies, développés par H.P. Shwefel),

    * Solving Integer Programming Problems Using Genetic Algorithms (par Fabrício Olivetti de França),

    * Genetic Algorithms, Fuzzy Logic, Neural Networks,

    *genetic programming (GP), *learning classifier systems (LCS), *evolvable hardware (EH), *real-world applications (RWA), *evolutionary robotics, *artificial life, *adaptive behavior (ER-AL-AB), *ant colony optimization and swarm algorithms (ACO-SW), *biological applications (BIO), *Coevolution (COEV), *Artificial Immune System(AIS) and *other areas

    dans lesquels (algorithmes évolutionnaires) on assimile les gènes aux chiffres binaires 0 et 1.

     Par ailleurs, les chiffres sont aussi appliqués dans la Biologie. D'ailleurs les simulations sur ordinateur comme dans le cas du MALADE VIRTUEL ne représentent-elles pas une modélisation de la vie entièrement numérisée (basées sur les digits [binaires = bits]), cette séquence de 0 et de 1 ? Les initiés s'y retrouvent sûrement tant soit peu. Après tout, les chromosomes et les gènes, responsables des phénomènes de la prolifération et de l'APOPTOSE, sont comptables (peuvent être dénombrés) donc entièrement basés sur des chiffres, non!

    Peut-être que cette nouvelle méthode de manipulation de chiffres nous livrera le secret fondamental de la vie, du vieillissement et surtout de la mort et donc de... l'éternité. Ou peut-être permettra-t-elle la fabrication de robots (automates) vraiment pensants.

    Et s'il aidait un jour à ressusciter les morts ? L'Internet étant un lieu de partage [à l'origine gratuit] d'informations et de ressources, il m'a plu de le mettre à la disposition du monde entier pour le rendre du "Public Domain", et donc le vôtre aussi. J'ose croire qu'il vous sera d'une quelconque importance et qu'il sera adopté à l'échelle internationale.

    Je pense que ce nouveau concept pourrait donner quelques lueurs sur les fondements de notre vie [telle que nous la concevons] ou d'autres formes de vies que nous ne soupçonnons même pas, ou du moins une idée plus claire sur la cure de certaines maladies considérées jusque là d'incurables, ou du moins une meilleure compréhension du phénomène de la sénescence.

    En effet, avec la Mathématique, on peut tout démontrer, tout chiffrer, tout modéliser (représenter sous forme de modèle mathématique), tout simuler, etc, probablement même [le phénomène de] la vie comme telle.

    Mais s'il faut comparer les chiffres à des chromosomes ou des gènes [qui sont bel et bien numérotables et/ou chiffrables], où seraient ou par quoi seraient représentés les DNA, les codons, le centromère, les télomères, le nucléole, les nucléotides, les séquences amorces (origines) de la réplication, etc.

    Ce qui est évident,  c'est le fait que les nombres ont une importante signification dans les chromosomes.

    Peut-être que lors des divisions chromosomiques, ce ne sont en fait que des chiffres qui se dupliquent et entraînent dans leurs déplacements (comme avec l'aimant) les gènes, ou alors le déplacement des gènes ne seraient qu'un reflet ou une projection à l'échelle matérielle, ou une induction, ou une transcription, ou une concrétisation ou manifestation des migrations insoupçonnées des chiffres lors de leurs propres divisions/multiplications/proliférations, les gènes ne faisant que suivre les déplacements des chiffres. Il conviendrait aussi de lire sur la science quantique (Médecine quantique, physique quantique, chimie quantique, et même la mathématique quantique...)

    Cette nouvelle notion, révolutionnaire, ne permettra sûrement pas à l’homme de recréer la vie de novo [à partir du néant], mais du moins elle permettra peut~être de mieux représenter et/ou reproduire des modèles mathématiques des phénomènes vitaux sur l’ordinateur, et aussi (et surtout) donner beaucoup plus d’intelligence artificielle à l’ordinateur.

    De plus, on peut approfondir cette observation pour développer des algorithmes de calcul en temps record pour les très grands nombres.

    Savez~vous que les animaux (en latin anima=âme ou souffle, animus=principe pensant) aussi ont une compétence minimale en matière des nombres. Ils possèdent dans la zone pariétale des neurones qui réagissent à telle ou telle quantité d'objets, alors que certains hommes souffrent d’accalculie. Les chiffres pourraient représenter un principe vital (souffle, du grec anémos=vent).

    Pour votre gouverne,

    les Oummites auraient déclaré l'existence de 86 paires d'atome de krypton en "extrémité" des chaînes d'ADN chez tous les êtres vivants.

    Pour nous atteindre : diasoluyalu@club-internet.fr, diasoluyalub@ibelgique.com

    Tél. : +243 / 00243-[0]902263541

    Je remercie l'Éternel Bon DIEU tout puissant dans le nom du Seigneur Jésus-Christ pour m'avoir révélé ces choses.
    Je présente aussi mes excuses pour des incongruences éventuelles qui se trouveraient dans ce texte, du fait que je ne suis pas Cardiologue.

    Jean-Baptiste Dadet DIASOLUKA Nzoyifuanga Luyalu,
    diassites@operamail.com
    Tél. : +243 902263541

    1. Spécialiste en Ophtalmologie
    (1980 – Clin Univ Kinshasa)

    2. Docteur en Médecine, Chirurgie & Accouchements
    (1977 – Univ du Zaïre, Kinshasa),
    CNOM : 0866 (Rép Dém Congo)

    3. Mathématicien - Physicien niveau humanités,
    (1971 – Collège Pestalozzi)

    4. Informaticien, Programmeur, Webmaster

    5. Avec connaissances en langages machine et assembleur, C++ et JavaScript.

    6. Chercheur indépendant, autonome et autofinancé, bénévole,
    sans aucun conflit d’intérêt ou contrainte promotionnelle avec qui qu’il soit ou
    quelqu’organisme ou institution / organisation que ce soit,
    étatique, paraétatique ou privé.

    Autres lectures qui peuvent être intéressantes [du même auteur] :

    http://scripts.toucharger.com/fiches/scripts/acuites-visuelles-angulaires/5605.htm
    http://diasoluyalu.exactpages.com/glaucome/glaucome.html

    http://www.amessi.org/diasoluka

    http://gha.centerblog.net

    http://www.blogg.org/blog-57394.html

    https://www.facebook.com/diasoluyalu/posts/558746290870398 (labo)

    https://www.facebook.com/notes/jean-dadet-diasoluka/m%C3%A9decine-et-labo-peuvent-conduire-%C3%A0-la-mort-si-on-ny-prend-garde/561589140586113

    https://www.facebook.com/notes/jean-dadet-diasoluka/les-sciences-quantiques-d%C3%A9complex%C3%A9es-en-quelques-lignes-/564326810312346

    https://www.facebook.com/diasoluyalu/posts/560832057328488 (dignité)

    http://diassites.0pi.com

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    https://www.facebook.com/diasoluyalu/posts/561667217244972 (retroaccouchement)
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